Les 24 et 25 février 2022, Undercurrents – Forum für linke Literaturwissenschaft organise un atelier sur la littérature et le care en mode hybride.

La bande dessinée de Catherine Ocelot « s’interroge sur les empreintes laissées par les mots, sur ce qui rend malade et ce qui guérit, sur la nature profonde de chaque individu et sur la manière de tendre l’oreille à cette petite voix que l’on tait trop souvent ».

À partir du 26 janvier 2022, les Maisons de quartier de Besançon accueillent l’exposition « Ni courtisane, ni ménagère. Victor Hugo et les droits des femmes ».

Dans cet épisode du podcast Dites à l’avenir que nous arrivons, Cynthia Fleury partage sa vision de la vulnérabilité et des possibilités d’un avenir souhaitable que la prise en compte des vulnérabilités des êtres humains autant que de la planète peut créer à l’échelle mondiale.

Vient de paraître la traduction française du dernier Maggie Nelson où l’interrogation sur la liberté s’avère intrinsèquement liée à une réflexion sur le care.

« Et si nous apprenions à prendre soin de nous, des autres et de la planète ? » C’est la question que François Taddei nous lance et à laquelle il répond en proposant d’« inventer ensemble des futurs souhaitables ».

La prochaine séance du séminaire « Contention, Soins, Libertés » de Prémontré organisé par la Chaire de Philosophie à l’hôpital accueillera la conférencière Annick Perrin-Niquet.

L’art peut-il nous guérir ? Les neurosciences répondent par l’affirmative, mettant de l’avant la capacité des arts à guérir certaines maladies et leur usage comme remède par les soignant.e.s et les patient.e.s.

L’historien Olivier Christin interroge le retour du héros sacrificiel dans le discours politique au moment où la pandémie de COVID-19 bat son plein.

Fabienne Brugère et Alain Laurent discutent de l’un des concepts clés des éthiques du care et de la crise actuelle du COVID-19 : la responsabilité.

Le thriller signé par Nita Prose met en scène une femme de chambre autiste impliquée dans le meurtre mystérieux de l’un des clients de l’hôtel où elle travaille.

L’historienne Laurence Monnais analyse le rôle de la santé publique dans le tournant vaccinal contre la COVID-19 et la manière dont son intervention auprès des individus pourrait mettre en péril l’idée d’une démocratie sanitaire.

Cet article signé par Alain Serge Agnessan interroge « le roman postcolonial francophone [qui] se met au chevet de personnages malades » et « entend diagnostiquer la part maudite du personnel malade de ces romans qui désirent “réparer le monde” ».

« Qu’elles aient été ouvrières, ménagères, châtelaines, secrétaires, postières, aubergistes, paysannes ou encore étudiantes, de nombreuses “femmes de l’ombre” ont participé à la résistance. » Un épisode de Sans oser le demander, à écouter sur France culture.

Sur fond de cinquième vague de COVID-19 et de restrictions sanitaires supplémentaires au Québec à la veille de Noël, Patrick Lagacé signe une chronique dans laquelle transparaît un grand souci pour les soignant.e.s.

Pauline Bégué et Zona Zaric ont rassemblé des textes issus des réflexions menées dans le cadre d’un séminaire de philosophie s’intéressant à la relation entre le soin et la compassion.

Séminaire organisé par le Centre en études genre de l'Université de Lausanne (CEG).

Loïs Giraud publie un article sur la réaménagement des établissements de santé en tenant compte du rôle que peuvent jouer les espaces verts, à exploiter par les patient.e.s, dans les soins prodigués aux malades.

Le Réseau des diplômés et des donateurs de l’Université de Montréal en collaboration avec la Faculté des arts et des sciences organise une conférence virtuelle le 25 novembre 2021 à 12h EST dont le thème est l’impact de la pandémie sur les personnes en deuil.

Sous la direction de Nicholas Dawson, l'ouvrage collectif de textes de fiction (poésie, récits, nouvelles et textes hybrides) rassemble onze écrivain.es qui abordent les enjeux entourant le soin de soi quand on est identifié comme sujet altérisé.